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Fabliau, tage
Fabliau, tage : Le Sapin

Le Sapin

  2006.03.16. 21:19

Conte d'Andersen

Là-bas, dans la forêt, il y avait un joli sapin. Il tait bien plac, il avait du soleil et de l'air ; autour de lui poussaient de plus grands camarades, pins et sapins. Mais lui tait si impatient de grandir qu'il ne remarquait ni le soleil ni l'air pur, pas même les enfants de paysans qui passaient en bavardant lorsqu'ils allaient cueillir des fraises ou des framboises.
« Oh ! si j'tais grand comme les autres, soupirait le petit sapin, je pourrais tendre largement ma verdure et, de mon sommet, contempler le vaste monde. Les oiseaux btiraient leur nid dans mes branches et, lorsqu'il y aurait du vent, je pourrais me balancer avec grce comme font ceux qui m'entourent. »
Le soleil ne lui causait aucun plaisir, ni les oiseaux, ni les nuages roses qui, matin et soir, naviguaient dans le ciel au-dessus de sa tête.
L'hiver, lorsque la neige tincelante entourait son pied de sa blancheur, il arrivait souvent qu'un lièvre bondissait, sautait par-dessus le petit arbre - oh ! que c'tait agaant ! Mais, deux hivers ayant pass, quand vint le troisième, le petit arbre tait assez grand pour que le lièvre fût oblig de le contourner. Oh ! pousser, pousser, devenir grand et vieux, c'tait là, pensait-il, la seule joie au monde.
En automne, les bûcherons venaient et abattaient quelques-uns des plus grands arbres. Cela arrivait chaque anne et le jeune sapin, qui avait atteint une bonne taille, tremblait de crainte, car ces arbres magnifiques tombaient à terre dans un fracas de craquements.
Où allaient-ils ? Quel devait être leur sort ?
Au printemps, lorsque arrivèrent l'hirondelle et la cigogne, le sapin leur demanda :
- Savez-vous où on les a conduits ? Les avez-vous rencontrs ?
Les hirondelles n'en savaient rien, mais la cigogne eut l'air de rflchir, hocha la tête et dit :
- Oui, je crois le savoir, j'ai rencontr beaucoup de navires tout neufs en m'envolant vers l'Egypte, sur ces navires il y avait des matres-mts superbes, j'ose dire que c'taient eux, ils sentaient le sapin.
- Oh ! si j'tais assez grand pour voler au-dessus de la mer ! Comment est-ce au juste la mer ? A quoi cela ressemble-t-il ?
- Euh ! c'est difficile à expliquer, rpondit la cigogne.
Et elle partit.
- Rjouis-toi de ta jeunesse, dirent les rayons du soleil, rjouis-toi de ta fracheur, de la jeune vie qui est en toi.
Le vent baisa le jeune arbre, la rose versa sur lui des larmes, mais il ne les comprit pas.
Quand vint l'poque de Nol, de tout jeunes arbres furent abattus, n'ayant souvent même pas la taille, ni l'ge de notre sapin, lequel, sans trêve ni repos, dsirait toujours partir. Ces jeunes arbres taient toujours les plus beaux, ils conservaient leurs branches, ceux-là, et on les couchait sur les charrettes que les chevaux tiraient hors de la forêt.
- Où vont-ils? demanda le sapin, ils ne sont pas plus grands que moi, il y en avait même un beaucoup plus petit. Pourquoi leur a-t-on laiss leur verdure?
- Nous le savons, nous le savons, gazouillèrent les moineaux. En bas, dans la ville, nous avons regard à travers les vitres, nous savons où la voiture les conduit. Oh ! ils arrivent au plus grand scintillement, au plus grand honneur que l'on puisse imaginer. A travers les vitres, nous les avons vus, plants au milieu du salon chauff et garnis de ravissants objets, pommes dores, gteaux de miel, jouets et des centaines de lumières.
- Suis-je destin à atteindre aussi cette fonction ? dit le sapin tout enthousiasm. C'est encore bien mieux que de voler au-dessus de la mer. Je me languis ici, que n'est-ce djà Nol ! Je suis aussi grand et dvelopp que ceux qui ont t emmens l'anne dernière. Je voudrais être djà sur la charrette et puis dans le salon chauff, au milieu de ce faste. Et, ensuite ... il arrive sûrement quelque chose d'encore mieux, de plus beau, sinon pourquoi nous dcorer ainsi. Cela doit être quelque chose de grandiose et de merveilleux ! Mais quoi ?... Oh ! je m'ennuie ... je languis ...
- Sois heureux d'être avec nous, dirent l'air et la lumière du soleil. Rjouis-toi de ta frache et libre jeunesse.
Mais le sapin n'arrivait pas à se rjouir. Il grandissait et grandissait. Hiver comme t, il tait vert, d'un beau vert fonc et les gens qui le voyaient s'criaient : Quel bel arbre !
Avant Nol il fut abattu, le tout premier. La hache trancha d'un coup, dans sa moelle ; il tomba, poussant un grand soupir, il sentit une douleur profonde. Il dfaillait et souffrait.
L'arbre ne revint à lui qu'au moment d'être dpos dans la cour avec les autres. Il entendit alors un homme dire :
- Celui-ci est superbe, nous le choisissons.
Alors vinrent deux domestiques en grande tenue qui apportèrent le sapin dans un beau salon. Des portraits ornaient les murs et près du grand poêle de cramique vernie il y avait des vases chinois avec des lions sur leurs couvercles. Plus loin taient placs des fauteuils à bascule, des canaps de soie, de grandes tables couvertes de livres d'images et de jouets ! pour un argent fou - du moins à ce que disaient les enfants.
Le sapin fut dress dans un petit tonneau rempli de sable, mais on ne pouvait pas voir que c'tait un tonneau parce qu'il tait envelopp d'une toffe verte et pos sur un grand tapis à fleurs ! Oh ! notre arbre tait bien mu ! Qu'allait-il se passer ?
Les domestiques et des jeunes filles commencèrent à le garnir. Ils suspendaient aux branches de petits filets dcoups dans des papiers glacs de couleur, dans chaque filet on mettait quelques fondants, des pommes et des noix dores pendaient aux branches comme si elles y avaient pouss, et plus de cent petites bougies rouges, bleues et blanches taient fixes sur les branches. Des poupes qui semblaient vivantes - l'arbre n'en avait jamais vu - planaient dans la verdure et tout en haut, au sommet, on mit une toile clinquante de dorure.
C'tait splendide, incomparablement magnifique.
- Ce soir, disaient-ils tous, ce soir ce sera beau.
« Oh ! pensa le sapin, que je voudrais être ici ce soir quand les bougies seront allumes ! Que se passera-t-il alors ? Les arbres de la forêt viendront-ils m'admirer ? Les moineaux me regarderont-ils à travers les vitres ? Vais-je e rester ici, ainsi dcor, l'hiver et l't ? »
On alluma les lumières. Quel clat ! Quelle beaut ! Un frmissement parcourut ses branches de sorte qu'une des bougies y mit le feu : une srieuse flambe.
- Mon Dieu ! crièrent les demoiselles en se dpêchant d'teindre.
Le pauvre arbre n'osait même plus trembler. Quelle torture ! Il avait si peur de perdre quelqu'une de ses belles parures, il tait complètement tourdi dans toute sa gloire ... Alors, la porte s'ouvrit à deux battants, des enfants en foule se prcipitèrent comme s'ils allaient renverser le sapin, les grandes personnes les suivaient posment. Les enfants s'arrêtaient - un instant seulement -, puis ils se mettaient à pousser des cris de joie - quel tapage ! - et à danser autour de l'arbre. Ensuite, on commena à cueillir les cadeaux l'un après l'autre.
« Qu'est-ce qu'ils font ? se demandait le sapin. Qu'est-ce qui va se passer ? »
Les bougies brûlèrent jusqu'aux branches, on les teignait à mesure, puis les enfants eurent la permission de dpouiller l'arbre complètement. Ils se jetèrent sur lui, si fort, que tous les rameaux en craquaient, s'il n'avait t bien attach au plafond par le ruban qui fixait aussi l'toile, il aurait t renvers.
Les petits tournoyaient dans le salon avec leurs jouets dans les bras, personne ne faisait plus attention à notre sapin, si ce n'est la vieille bonne d'enfants qui jetait de-ci de-là un coup d'œil entre les branches pour voir si on n'avait pas oubli une figue ou une pomme.
- Une histoire ! une histoire ! criaient les enfants en entranant vers l'arbre un gros petit homme ventru.
Il s'assit juste sous l'arbre.
- Comme a, nous sommes dans la verdure et le sapin aura aussi intrêt à nous couter, mais je ne raconterai qu'une histoire. Voulez-vous celle d'Ivède-Avède ou celle de Dumpe-le-Ballot qui roula en bas des escaliers, mais arriva tout de même à s'asseoir sur un trne et à pouser la princesse ?
L'homme racontait l'histoire de Dumpe-le-Ballot qui tomba du haut des escaliers, gagna tout de même le trne et pousa la princesse. Les enfants battaient des mains. Ils voulaient aussi entendre l'histoire d'Ivède-Avède, mais ils n'en eurent qu'une. Le sapin se tenait coi et coutait.
« Oui, oui, voilà comment vont les choses dans le monde », pensait-il. Il croyait que l'histoire tait vraie, parce que l'homme qui la racontait tait lgant.
- Oui, oui, sait-on jamais ! Peut-être tomberai-je aussi du haut des escaliers et pouserai-je une princesse !
Il se rjouissait en songeant que le lendemain il serait de nouveau orn de lumières et de jouets, d'or et de fruits.
Il resta immobile et songeur toute la nuit.
Au matin, un valet et une femme de chambre entrèrent.
- Voilà la fête qui recommence ! pensa l'arbre. Mais ils le tranèrent hors de la pièce, en haut des escaliers, au grenier... et là, dans un coin sombre, où le jour ne parvenait pas, ils l'abandonnèrent.
- Qu'est-ce que cela veut dire ? Que vais-je faire ici ?
Il s'appuya contre le mur, rflchissant. Et il eut le temps de beaucoup rflchir, car les jours et les nuits passaient sans qu'il ne vnt personne là-haut et quand, enfin, il vint quelqu'un, ce n'tait que pour dposer quelques grandes caisses dans le coin. Elles cachaient l'arbre complètement. L'avait-on donc tout à fait oubli ?
«C'est l'hiver dehors, maintenant, pensait-il. La terre est dure et couverte de neige. On ne pourrait même pas me planter ; c'est sans doute pour cela que je dois rester à l'abri jusqu'au printemps. Comme c'est raisonnable, les hommes sont bons ! Si seulement il ne faisait pas si sombre et si ce n'tait si solitaire ! Pas le moindre petit lièvre. C'tait gai, là-bas, dans la forêt, quand sur le tapis de neige le lièvre passait en bondissant, oui, même quand il sautait par-dessus moi ; mais, dans ce temps-là, je n'aimais pas a. Quelle affreuse solitude, ici ! »
« Pip ! pip ! » fit une petite souris en apparaissant au même instant, et une autre la suivait. Elles flairèrent le sapin et furetèrent dans ses branches.
- Il fait terriblement froid , dit la petite souris. Sans quoi on serait bien ici, n'est-ce pas, vieux sapin?
- Je ne suis pas vieux du tout, rpondit le sapin. Il en y a beaucoup de bien plus vieux que moi.
- D'où viens-tu donc ? demanda la souris, et qu'est-ce que tu as à raconter ?
Elles taient horriblement curieuses.
- Parle-nous de l'endroit le plus exquis de la terre. Y as-tu t ? As-tu t dans le garde-manger ?
- Je ne connais pas a, dit l'arbre, mais je connais la forêt où brille le soleil, où l'oiseau chante.
Et il parla de son enfance. Les petites souris n'avaient jamais rien entendu de semblable. Elles coutaient de toutes leurs oreilles.
- Tu en as vu des choses ! Comme tu as t heureux !
- Moi ! dit le sapin en songeant à ce que lui-même racontait. Oui, au fond, c'tait bien agrable.
Mais, ensuite, il parla du soir de Nol où il avait t garni de gteaux et de lumières.
- Oh ! dirent encore les petites souris, comme tu as t heureux, vieux sapin.
- Mais je ne suis pas vieux du tout, ce n'est que cet hiver que j'ai quitt ma forêt ; je suis dans mon plus bel ge, on m'a seulement replant dans un tonneau.
- Comme tu racontes bien, dirent les petites souris.
La nuit suivante, elles amenèrent quatre autres souris pour entendre ce que l'arbre racontait et, à mesure que celui-ci parlait, tout lui revenait plus exactement.
« C'tait vraiment de bons moments, pensait-il. Mais ils peuvent revenir, ils peuvent revenir ! Dumpe-le-Ballot est tomb du haut des escaliers, mais il a tout de même eu la princesse ; peut-être en aurai-je une aussi. »
Il se souvenait d'un petit bouleau qui poussait là-bas, dans la forêt, et qui avait t pour lui une vritable petite princesse.
- Qui est Dumpe-le-Ballot ? demandèrent les petites souris.
Alors le sapin raconta toute l'histoire, il se souvenait de chaque mot ; un peu plus, les petites souris grimpaient jusqu'en haut de l'arbre, de plaisir.
La nuit suivante, les souris taient plus nombreuses encore, et le dimanche il vint même deux rats, mais ils dclarèrent que le conte n'tait pas amusant du tout, ce qui fit de la peine aux petites souris ; de ce fait, elles-mêmes l'apprcièrent moins.
- Eh bien , merci, dirent les rats en rentrant chez eux. Les souris finirent par s'en aller aussi, et le sapin soupirait.
- C'tait un vrai plaisir d'avoir autour de moi ces petites souris agiles, à couter ce que je racontais. C'est fini, a aussi, mais maintenant, je saurai goûter les plaisirs quand on me ressortira. Mais quand ?
Ce fut un matin, des gens arrivèrent et remuèrent tout dans le grenier. Ils dplacèrent les caisses, tirèrent l'arbre en avant. Bien sûr, ils le jetèrent un peu durement à terre, mais un valet le trana vers l'escalier où le jour clairait.
«Voilà la vie qui recommence », pensait l'arbre, lorsqu'il sentit l'air frais, le premier rayon de soleil ... et le voilà dans la cour.
Tout se passa si vite ! La cour se prolongeait par un jardin en fleurs. Les roses pendaient fraches et odorantes par-dessus la petite barrière, les tilleuls taient fleuris et les hirondelles voletaient en chantant : « Quivit, quivit, mon homme est arriv ! » Mais ce n'tait pas du sapin qu'elles voulaient parler.
- Je vais revivre, se disait-il, enchant, tendant largement ses branches. Hlas ! elles taient toutes fanes et jaunies. L'toile de papier dor tait reste fixe à son sommet et brillait au soleil... Dans la cour jouaient quelques enfants joyeux qui, à Nol, avaient dans autour de l'arbre et s'en taient rjouis. L'un des plus petits s'lana et arracha l'toile d'or.
- Regarde ce qui tait rest sur cet affreux arbre de Nol, s'cria-t-il en pitinant les branches qui craquaient sous ses souliers.
L'arbre regardait la splendeur des fleurs et la frache verdure du jardin puis, enfin, se regarda lui-même. Comme il eût prfr être rest dans son coin sombre au grenier ! Il pensa à sa jeunesse dans la forêt, à la joyeuse fête de Nol, aux petites souris, si heureuses d'entendre l'histoire de Dumpe-le- Ballot.
« Fini ! fini ! Si seulement j'avais su être heureux quand je le pouvais. »
Le valet dbita l'arbre en petits morceaux, il en fit tout un grand tas qui flamba joyeusement sous la chaudière. De profonds soupirs s'en chappaient, chaque soupir clatait. Les enfants qui jouaient au-dehors entrèrent s'asseoir devant le feu et ils criaient : Pif ! Paf ! à chaque craquement, le sapin, lui, songeait à un jour d't dans la forêt ou à une nuit d'hiver quand les toiles tincellent. Il pensait au soir de Nol, à Dumpe-le-Ballot, le seul conte qu'il eût jamais entendu et qu'il avait su rpter... et voilà qu'il tait consum ...
Les garons jouaient dans la cour, le plus jeune portait sur la poitrine l'toile d'or qui avait orn l'arbre au soir le plus heureux de sa vie. Ce soir tait fini, l'arbre tait fini, et l'histoire, aussi, finie, finie comme toutes les histoires.

 
Fuss.
 
ra
 
csak hogy tudjam mennyien vagytok.. :)
Induls: 2004-08-07
 
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2025. Mrcius
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